26 Novembre 2016
Si à La Havane, nous avions l'impression d'être retourné dans les années 1950 (voitures, bâtiments restaurés ou non, transports en commun hors d'âge), Medellin offre la vision d'une ville moderne (circulation intense, métro, télécabine, immeubles).
Les magasins de Cuba n'offraient pas une grande variété de produits alors qu'en Colombie, ils regorgent de biens de consommation ; les trottoirs sont envahis de vendeurs ambulants.
Si la police cubaine est très peu visible (saut pour nous mettre un procès pour excès de vitesse et nous inviter à quitter un village hors des sentiers battus), la police colombienne est très présente.
Enfin, nous n'avons presque jamais vu de misère à Cuba tandis que des gens dorment sur les trottoirs de Medellin et les favelas partent à l'assaut des pentes des montagnes qui entourent la ville.